Contexte

L’histoire de la construction de l’aéroport de Mirabel

La récente démolition de l'aérogare met en lumière le fait que les contribuables ont payé des millions de dollars inutilement à l'époque pour la construction cet éléphant blanc et également pour sa démolition. De plus, des milliards ont été consacrés au réaménagement de l’aéroport international Pierre-Elliott Trudeau de Montréal pour recevoir les surplus de vols occasionnés par la fermeture de l’aéroport de Mirabel.

Que reste-t-il de ce désastre?

À MIRABEL :
  • Des pistes qui servent pour quelques avions cargo;
  • Un centre de divertissement pour l’essai de voitures performantes ou autres (ICAR);
  • Des stationnements vides dont certains se servent pour s’amuser comme pistes de course.
À DORVAL :

L’aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal (autrefois nommé Aéroport international Montréal-Mirabel) est coincé dans les tissus urbains de Montréal où il est presque impossible de s’yrendre dans un temps raisonnable.

Cette expropriation démesurée et les statistiques compilées en 1981 nous révèlent le ridicule de la chose. On a exproprié les superficies suivantes pour l'implantation d'un aéroport :
  • London-Heathrow : 2 715 acres
  • New-York-Kennedy : 4 900 acres
  • Vancouver : 3 620 acres
  • Los Angeles : 3 500 acres
  • Mirabel : 97 000 acres

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